Comment les personnes qui nous inspirent influencent notre parcours d’entrepreneur ?
Derrière chaque réussite, il y a toujours une main invisible : celle de ceux qui nous inspirent.
Sébastien Cateau


L’étincelle que l’on ne choisit pas
Je me souviens très bien du moment où j’ai compris que l’inspiration n’était pas un simple mot, mais une véritable force.
C’était un de ces jours ordinaires, où je regardais une vidéo d’entrepreneur sans trop savoir pourquoi.
Mais quelque chose a cliqué.
Une phrase, une idée, une façon de penser différente.
C’est comme si quelqu’un avait mis des mots sur ce que je ressentais depuis longtemps sans pouvoir l’exprimer.
Et c’est à ce moment-là que j’ai réalisé une chose : les personnes qui nous inspirent peuvent changer la trajectoire entière de notre vie.
Pas seulement en nous donnant des outils ou des méthodes, mais en modifiant notre perception de nous-même, de nos limites, et de ce que nous croyons possible.
Avant de devenir coach et entrepreneur à plein temps, j’étais simplement un gars qui avait découvert l’affiliation presque par hasard.
Je faisais quelques commissions, sans grande stratégie.
Je me laissais porter par les opportunités, sans savoir où tout cela pouvait me mener.
Mais au fond, je sentais que j’avais envie de plus.
Je voulais comprendre comment créer, transmettre, bâtir quelque chose de durable.
Et c’est là qu’André Dubois, Stan Leloup, puis Damien Menu sont entrés dans ma vie.
Chacun d’eux, à sa manière, a joué un rôle fondamental dans ma transformation.
Ils ne le savent peut-être pas, mais ils ont façonné mon parcours, mes valeurs et même ma vision du métier d’entrepreneur.
1. André Dubois : Le souffle de la rigueur et de la méthode
Mon premier vrai déclic est venu grâce à André Dubois de TraficMania.
Je me souviens encore du premier article que j’ai lu sur son site.
C’était simple, clair, sans fioritures.
Pas de discours creux, pas de promesses irréalistes.
Juste du bon sens, de la structure et une profondeur qui m’a littéralement soufflé.
André m’a appris à penser le contenu non pas comme une suite d’articles, mais comme une stratégie globale.
Sa manière d’expliquer la création de contenu, le copywriting, la construction d’une audience m’a ouvert les yeux.
J’ai suivi plusieurs de ses formations : Créer et planifier un an de contenu pour dominer sa thématique, Trafic, Formations qui vendent…
Et chacune d’elles m’a apporté une brique supplémentaire à mon édifice entrepreneurial.
Il y avait chez André cette rigueur tranquille, cette logique implacable qui donne envie de s’appliquer davantage.
Il montrait que le succès ne repose pas sur la chance ou le charisme, mais sur la constance et la méthode.
J’ai appris à planifier, à comprendre la psychologie de mes lecteurs, à écrire pour aider avant de vendre.
Et surtout, il m’a transmis une idée essentielle :
👉 “Ce que tu construis doit te ressembler, sinon tu finiras par t’en détacher.”
Grâce à lui, j’ai commencé à réfléchir à mon propre style.
Je ne voulais pas faire du bruit.
Je voulais créer quelque chose de solide, d’utile, de sincère.
André Dubois a été pour moi plus qu’un formateur : il a été le penseur silencieux derrière mes premiers pas structurés.
Son influence m’a appris la discipline du créateur de contenu, la rigueur du bâtisseur et la patience du jardinier qui cultive sa marque sur le long terme.
2. Stan Leloup : Le marketing comme miroir de l’humain
Après André, j’ai découvert Stan Leloup et son univers de Marketing Mania.
Je connaissais déjà un peu le marketing, mais pas sous cet angle-là.
Stan a complètement changé ma vision des choses.
Avec lui, le marketing n’était plus un outil de manipulation, mais une science du comportement humain, une manière de comprendre les émotions, les désirs, les besoins profonds.
J’ai lu son livre Votre empire dans un sac à dos d’une traite.
Je l’ai toujours à portée de main, d’ailleurs.
C’est le genre de livre qu’on ne lit pas qu’une fois : on y revient, encore et encore, parce que chaque chapitre semble plus pertinent à mesure qu’on évolue.
Ce que j’ai adoré chez Stan, c’est son équilibre entre intelligence analytique et authenticité.
Il n’a pas peur d’explorer les zones d’ombre de la psychologie humaine, de questionner les raisons pour lesquelles les gens achètent, échouent ou abandonnent.
Il parle de la peur, du doute, de la résistance,  tout ce que l’entrepreneur vit au quotidien, mais dont peu osent parler.
Stan m’a appris à voir le marketing comme un art d’écoute.
Il ne s’agit pas de vendre à tout prix, mais de comprendre profondément ce que ressent ton audience, puis de l’aider à avancer.
C’est une approche humaine, presque philosophique.
Et cette façon de relier le rationnel et l’émotionnel m’a bouleversé.
Grâce à lui, j’ai appris à parler aux émotions sans trahir mes valeurs.
J’ai découvert la puissance des histoires, la structure des scénarios, la psychologie des décisions.
Et petit à petit, tout ce que j’avais appris chez André Dubois prenait une autre dimension : le contenu que je produisais avait désormais une âme.
Là où André m’avait enseigné à bâtir une base solide, Stan m’a initié à donner vie à cette base.
À insuffler de la personnalité, à parler vrai, à assumer mes convictions.
Et surtout, il m’a fait comprendre une chose essentielle :
👉Les gens n’achètent pas un produit, ils achètent une émotion, une transformation, une promesse de devenir quelqu’un d’autre.
Cette phrase, je l’ai gravée en moi.
Elle m’a guidé dans chacune de mes créations, dans chaque page de vente, dans chaque échange avec mes clients.
3. Damien Menu : Le déclic, la clarté, la transformation
Puis, il y a eu Damien Menu.
Et là, tout a pris une autre dimension.
Si André m’a donné la structure et Stan la compréhension de l’humain, Damien m’a donné la direction.
Il a allumé une lumière que je n’arrivais pas encore à trouver tout seul.
Avec lui, j’ai découvert un nouveau monde : celui de l’affiliation assumée, stratégique, éthique.
J’étais alors ce simple gars qui faisait quelques commissions d’affiliation de temps à autre, un peu au feeling, sans vrai plan.
Et un jour, je suis tombé sur Damien.
Sa manière de parler d’affiliation, de liberté, d’indépendance… ça m’a percuté.
C’était limpide, vrai, sans poudre aux yeux.
Et surtout, il y avait les commissions en automatique et maintenant Cercle sur Skool sa communauté d’entrepreneurs de l’affiliation.
Un espace unique où la bienveillance, la transparence et le partage de valeur prenaient le pas sur la compétition.
J’ai rejoint le groupe et ce fut un tournant.
Je me suis retrouvé entouré de personnes comme moi : des entrepreneurs passionnés, déterminés, prêts à apprendre et à grandir ensemble comme Zeshan, Claude, Vincent et bien d'autres.
C’est là que j’ai compris que l’inspiration n’est pas seulement individuelle.
Elle est collective.
Chaque échange, chaque discussion, chaque expérience partagée venait renforcer ma conviction : je pouvais aller plus loin.
Je pouvais faire de l’affiliation autrement, de manière sincère et durable.
Damien m’a inspiré non seulement par ses résultats, mais par sa posture.
Il incarne cette humilité rare de ceux qui savent vraiment.
Pas de blabla, pas de posture de “guru”, juste la vérité de quelqu’un qui a fait, expérimenté, échoué, réussi.
Et surtout, qui transmet avec cœur.
Grâce à lui, j’ai osé passer à l’étape suivante.
Je suis passé de simple affilié à coach.
J’ai commencé à transmettre à mon tour, à accompagner d’autres personnes dans leur propre parcours d’affiliation.
Et c’est là que j’ai ressenti, pour la première fois, ce que mes mentors avaient probablement ressenti eux aussi : cette joie profonde de voir quelqu’un progresser grâce à toi.
4. De l’inspiration à la transformation : le moment où tout bascule
Le plus fascinant avec l’inspiration, c’est qu’on ne sait jamais quand elle va se transformer en action.
On écoute, on apprend, on observe… puis un jour, quelque chose bascule.
Ce n’est plus “eux” qu’on regarde, c’est “nous” qu’on commence à construire.
C’est exactement ce que j’ai vécu après avoir intégré le Groupe de Damien Menu.
J’avais accumulé des connaissances, des idées, des méthodes, mais je n’avais pas encore intégré cette identité d’entrepreneur à part entière.
Je doutais encore de moi, comme beaucoup.
Et puis, à force de discussions, de partages, de retours bienveillants, j’ai compris que j’étais déjà en train de devenir celui que j’admirais.
Pas en le copiant, mais en adoptant sa posture, son éthique, sa vision.
L’inspiration devient alors un miroir : on se découvre dans le reflet des autres.
Je voyais en Damien la clarté que je cherchais.
En Stan, la profondeur émotionnelle que je voulais transmettre.
En André, la solidité et la constance auxquelles j’aspirais.
Et tout cela m’a conduit à franchir une étape que je n’aurais jamais imaginée : devenir coach à mon tour.
Le jour où j’ai accompagné ma première personne dans son parcours d’affiliation, j’ai ressenti un mélange d’excitation et de gratitude.
Excitation, parce que je mettais enfin en pratique tout ce que j’avais appris.
Gratitude, parce que je savais que sans mes trois “phares”, je n’en serais pas là.
Ce jour-là, j’ai compris une vérité essentielle :
👉 L’inspiration n’a de valeur que si elle devient transmission.
Quand tu transmets, tu rends hommage à ceux qui t’ont inspiré.
Tu prolonges leur impact, tu contribues à cette grande chaîne invisible qui relie tous les entrepreneurs entre eux.


5. Transformer l’admiration en discipline
L’inspiration est un déclencheur, pas une fin en soi.
Elle te donne envie, elle t’ouvre l’esprit… mais elle ne fait pas le travail à ta place.
Et c’est là que beaucoup s’arrêtent : ils restent dans le rêve, au lieu de passer dans l’action.
J’ai appris, grâce à mes mentors, que l’admiration sans discipline est une illusion.
On peut être émerveillé par le parcours de quelqu’un, mais si on ne met pas en place les routines, les apprentissages, les essais-erreurs, rien ne change.
Je me souviens encore des premiers mois où j’ai décidé d’appliquer sérieusement les enseignements d’André Dubois.
J’ai planifié mes contenus sur un an, comme il le préconisait.
Je me suis imposé une régularité presque militaire : écrire tous les jours, publier chaque semaine, relire, améliorer.
Et au bout de quelques mois, j’ai vu le changement.
Mon écriture devenait plus fluide, mes idées plus claires, ma voix plus affirmée.
Puis, j’ai ajouté à cela la psychologie de Stan Leloup.
Je relisais ses concepts sur les émotions, les biais cognitifs, la narration.
Et je testais, encore et encore.
Certains textes résonnaient, d’autres non.
Mais chaque essai m’apprenait quelque chose.
Enfin, avec Damien Menu, j’ai découvert la discipline du focus.
Il parle souvent de simplifier, de concentrer ses efforts sur ce qui compte vraiment.
C’est une forme de sagesse entrepreneuriale : ne pas se disperser, ne pas vouloir tout faire, mais faire mieux.
Et cette discipline, nourrie par l’admiration, devient la clé de la transformation.
👉 L’inspiration t’allume. La discipline te propulse.
6. Créer sa propre voie après ses mentors
Un jour, tu regardes derrière toi et tu réalises que tu n’es plus seulement un élève.
Tu es devenu un créateur à part entière.
Tu ne cherches plus à reproduire, mais à contribuer.
C’est un passage subtil, mais fondamental.
Je l’ai vécu quand j’ai commencé à accompagner des entrepreneurs à mon tour.
Au début, je reprenais certaines phrases, certaines approches que j’avais apprises de mes mentors.
Puis, peu à peu, j’ai commencé à trouver ma propre voie.
C’est là que j’ai compris que l’inspiration n’est pas un héritage figé, c’est une matière vivante.
Tu la transformes à ton image, tu la fais évoluer avec ton expérience, et un jour… elle devient ta marque de fabrique.
C’est le moment où tu deviens, à ton tour, une source d’inspiration.
Et ça, c’est une sensation indescriptible.
Quand quelqu’un te dit :
“Grâce à toi, j’ai osé me lancer.”
ou
“Ton histoire m’a motivé à persévérer.”
Tu comprends alors pourquoi tes mentors faisaient ce qu’ils faisaient.
Ce n’est pas juste une question de business.
C’est une question de transmission.
Ce que j’ai appris d’André, Stan et Damien, je le transmets aujourd’hui à mon tour.
Mais à ma manière.
Avec mes mots, mon vécu, mon regard.
Parce qu’au fond, l’inspiration, c’est ça : un courant qui se transmet de main en main, sans jamais s’éteindre.
7. L’influence consciente : choisir les bonnes voix
Dans le monde actuel, l’inspiration est partout.
Mais toutes les influences ne se valent pas.
Il y a une différence entre être inspiré… et être influencé.
J’ai appris à faire le tri.
À choisir consciemment qui j’écoute, qui je lis, qui je regarde.
Parce que chaque voix que tu laisses entrer dans ton esprit façonne ton état d’esprit.
Avec André Dubois, j’ai appris la rigueur.
Avec Stan Leloup, la compréhension humaine.
Avec Damien Menu, la clarté et la bienveillance.
Ces trois influences-là, je les ai choisies.
Et elles m’ont construit.
Mais j’aurais aussi pu tomber dans des discours creux, dans les promesses de richesse rapide, dans les illusions de succès instantané.
Heureusement, ces trois-là m’ont appris à distinguer la valeur de l’apparence.
Ils m’ont donné les outils pour penser, pas seulement pour faire.
Aujourd’hui, je veille à ce que les entrepreneurs que j’accompagne développent ce même esprit critique.
Parce que l’inspiration, sans discernement, devient dépendance.
Et la dépendance, en entrepreneuriat, est un poison.
8. La boucle est bouclée : de l’élève au guide
Quand je repense à mon parcours, je vois un fil rouge : celui de la transmission.
Ce que j’ai reçu, je l’ai transformé.
Et ce que j’ai transformé, je le transmets à mon tour.
André Dubois m’a appris à construire avec méthode.
Stan Leloup m’a appris à communiquer avec sensibilité.
Damien Menu m’a appris à vivre de ma passion avec éthique.
Chacun d’eux m’a offert une brique essentielle de ce que je suis devenu.
Et ensemble, ils ont formé un socle sur lequel je construis chaque jour Secalogi et mes projets.
Mais le plus beau dans tout ça, c’est que ce n’est qu’un début.
Parce qu’à chaque fois que j’inspire quelqu’un d’autre, je deviens moi-même un relais de cette énergie.
L’inspiration n’est pas une flamme qu’on garde pour soi — c’est une lumière qu’on transmet.
L’héritage invisible de l’inspiration
Si je devais résumer tout ce parcours, je dirais que l’inspiration est comme une empreinte invisible sur notre trajectoire.
Elle ne nous dicte pas nos pas, mais elle éclaire la route.
Sans André Dubois, je n’aurais peut-être jamais compris la puissance du contenu et du copywriting.
Sans Stan Leloup, je n’aurais jamais appris à parler au cœur plutôt qu’à la tête.
Sans Damien Menu, je n’aurais probablement jamais osé devenir coach et transmettre à mon tour.
Aujourd’hui, quand je regarde mon parcours, je ne vois pas une ligne droite.
Je vois une succession de rencontres, de lectures, de formations, de moments de doute et de clarté.
Et à chaque étape, quelqu’un a été là pour me montrer que c’était possible.
C’est ça, la magie de l’inspiration : elle transforme le “je ne peux pas” en “pourquoi pas ?”
Et le “pourquoi pas ?” en “je l’ai fait.”
Alors si toi aussi, tu es sur ce chemin, souviens-toi :
les personnes qui t’inspirent ne sont pas là pour te précéder, mais pour t’ouvrir la voie.
Écoute-les, apprends d’elles, puis forge ta propre route.
Parce qu’au fond, le vrai pouvoir de l’inspiration, c’est de te révéler à toi-même.
Sébastien
Secalogi
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